Au THEASTRE du ciel
Dimanche 27 avril 2025
A 21h32 à Paris à Groix en France
La NOUVELLE LUNE en TAUREAU aux portes de BELTAINE
ou « en quête de notre OEIL DU CYCLONE intérieur ».
Au lever du coeur,
nous sommes des hymnes polyphoniques,
Alors que tout s’agite au dehors avec la vitalité d’un jeune printemps et que les injonctions cognent à la vitre, alors que les peurs serrent nos ventres comme les griffes de rapaces, que les urgences semblent crier dans nos têtes comme les voix des harpies,
Aurons-nous le cran dans cette tempête de ralentir le rythme, de trouver un calme de velours absolu en nous, et d’écouter nos propres besoins ?
Aurons-nous la hardiesse d’entrer dans notre oeil du cyclone intérieur, boussole intime et personnelle, notre intuition souveraine ?
Et non pas en exagérant pour nous faire entendre, en réagissant par défense ou par compulsion, pas non plus en ajustant nos rancœurs personnelles aux exigences du bien-vivre collectif, pas non plus en faisant taire nos agacements individuels pour les accorder au grand dessein commun que nous voulons participer à tisser, non, plutôt en ayant la bravoure de revenir en nous-mêmes, de réconcilier l’intime et le cosmos en nous. En ayant la grâce de nous foutre la paix.
Au lever du coeur,
serons-nous prêts à nous ancrer dans notre propre nudité, à être vulnérables, à nous approcher des feux vifs d’ifs, de sorbiers, d’aubepines, de sureaux, pour danser autour d’eux, pour sauter par dessus, pour fouler avec les pieds nus les cendres du pardon, à demander ce qui est véritablement essentiel, appeler la guérison, la régénération, la confiance de sauter dans l’arc en ciel de l’inconnu.
Au lever du coeur,
peut être qu’il est l’heure de rire, de nous aimer, de manger des fleurs, de boire la goutte du seigneur !
Des baisers, coeur coeur coeur,
Capt’aine des étoiles Météora Roja Erose Aurore
Dimanche 27 avril 2025
A 21h32 à Paris à Groix en France
La NOUVELLE LUNE en TAUREAU aux portes de BELTAINE
ou « en quête de notre OEIL DU CYCLONE intérieur ».
Au lever du coeur,
nous sommes des hymnes polyphoniques,
Alors que tout s’agite au dehors avec la vitalité d’un jeune printemps et que les injonctions cognent à la vitre, alors que les peurs serrent nos ventres comme les griffes de rapaces, que les urgences semblent crier dans nos têtes comme les voix des harpies,
Aurons-nous le cran dans cette tempête de ralentir le rythme, de trouver un calme de velours absolu en nous, et d’écouter nos propres besoins ?
Aurons-nous la hardiesse d’entrer dans notre oeil du cyclone intérieur, boussole intime et personnelle, notre intuition souveraine ?
Et non pas en exagérant pour nous faire entendre, en réagissant par défense ou par compulsion, pas non plus en ajustant nos rancœurs personnelles aux exigences du bien-vivre collectif, pas non plus en faisant taire nos agacements individuels pour les accorder au grand dessein commun que nous voulons participer à tisser, non, plutôt en ayant la bravoure de revenir en nous-mêmes, de réconcilier l’intime et le cosmos en nous. En ayant la grâce de nous foutre la paix.
Au lever du coeur,
serons-nous prêts à nous ancrer dans notre propre nudité, à être vulnérables, à nous approcher des feux vifs d’ifs, de sorbiers, d’aubepines, de sureaux, pour danser autour d’eux, pour sauter par dessus, pour fouler avec les pieds nus les cendres du pardon, à demander ce qui est véritablement essentiel, appeler la guérison, la régénération, la confiance de sauter dans l’arc en ciel de l’inconnu.
Au lever du coeur,
peut être qu’il est l’heure de rire, de nous aimer, de manger des fleurs, de boire la goutte du seigneur !
Des baisers, coeur coeur coeur,
Capt’aine des étoiles Météora Roja Erose Aurore